Le groupe « Travel Agency » chante « Carla et Nicolas ».
03/12/2010 13:18
Le groupe Travel Agency a mis en scène le couple présidentiel dans un clip. Pour la chanson Carla et Nicolas, il a réalisé un site Internet entièrement dédié aux personnages présidentiels. Sur cette page web en forme d'ardoise, on retrouve le visage de Carla Bruni collé sur le corps de Wonder Woman, et la tête de Nicolas Sarkozy sur celui de Superman. A eux deux, ils règnent sur la planète.
Le clip reprend cette idée dans un dessin animé en proposant deux personnages censés représenter le couple. La lettre "N" est dessinée sur le torse du personnage masculin, tandis que le personnage féminin a un gros "C" sur la poitrine. La chanson Carla et Nicolas, se moque donc ouvertement du président de la République et de sa femme. Les paroles de la chanson devraient d'ailleurs vous en convaincre.
Commentaire de clairedelune (10/01/2011 18:28) :
Salut Sarcasmes, bonne année et meilleurs voeux, tiens voilà ce que
j'ai trouvé sur le net, ça devrait te faire sourire ;) en tout cas
fallait oser débiner le couple présidentiel et "Travel agency" l'a
fait :) excellent ! ;) bonne semaine à bientôt sur vip, si tu as du temps
tu peux venir voir mon univers, j'ai publié quelques articles (merci
la grève des transorts ;)). Clairedelune
c'est pas du temps de mitterrant qu'il aurait accepté çà, mais le
président Sarkozy à de l'humour il est plus intelligent et moi cela
m'amuse aussi! Le groupe en ferait-il autant avec le FN hein??? Il y a
un petit moment que je ne suis pas venue sur ton blog mais il y a un OVNI
lol! Bonne soirée sarcasmes et gros bisous de ton amie La Mouette
Commentaire de aux-larmes-citoyens (14/09/2011 22:23) :
sarcasmes tu est le ou la seul(le)pour l'instant à être intervenu sur
mon blog,avec christaline 13,peut tu entrer en contact avec moi par email
ta perspicacité me serait utile.merci
Le Koweït veut interdire aux femmes... de porter un maillot de bain !
01/12/2010 07:50
Cinq députés koweïtiens ont présenté une proposition pour punir d'un an de prison et d'une amende de 3 500 dollars les femmes se présentant en maillot de bain sur les plages ! Lire la suite l'article
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Le Koweït veut interdire aux femmes... de porter un maillot de bain !
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Au Koweït, les femmes sont traditionnellement vêtues et voilées lorsqu'elles se baignent. Pourtant, ce pays islamique conservateur n'impose pas de règles vestimentaires, au contraire de son voisin l'Arabie Saoudite. Seulement, cela pourrait bientôt changer puisque cinq députés ont proposé de punir d'un an de prison et d'une amende de 3 500 dollars les femmes se présentant en maillot de bain sur les plages !
Afin d'être validée, cette proposition devra être approuvée en commission parlementaire, puis par la Chambre, et finalement par le chef de l'État. Les députés ont défendu l'amendement en faisant le constat de scènes "indécentes" sur les plages et les îles koweïtiennes, qui sont majoritairement fréquentées par les hommes. Ils suggèrent également d'élargir l'amendement aux femmes portant des décolletés et aux comportements "indécents" sur les plages, les îles ou dans les piscines.
Cependant, la députée libérale Acil al-Awadhi s'oppose vivement à ce projet de loi, dénonçant "une violation de la Constitution". Pour elle, il s'agit d'une mesure discriminatoire et se demande pourquoi elle ne s'appliquerait pas aux hommes en maillot de bain.
« Cette nuit, docteur, j’ai fait un rêve étrange : je remontais à pied le lit asséché de ce qui semblait avoir été une large rivière. Au long des berges mortes, on pouvait deviner qu’une végétation luxuriante avait poussé ici et qu’une verte vallée remplaçait autrefois le désert dans lequel je m’assoiffais. Au détour d’une colline, en amont, je finis par apercevoir, au loin, qu’un immense barrage bloquait fermement l’entrée de la vallée. Un village du tiers monde, miséreux, délabré, était blotti au pied de celui-ci. »
- Ah ah, gontinuez, fit le docteur, ça m’a l’air très zexuel, tout za. Rivière + barrage = zexe. Blocache pzygologique. Z’est limpide.
« Les pauvres maisons étaient regroupées au pied de l’immense mur de béton, écrasées par son imposante masse. Je compris bientôt la raison de cet inhabituel regroupement. Au centre du barrage, planté à même la paroi à hauteur d’homme, se trouvait un petit robinet fermé, tout simple. Il donnait dans un abreuvoir à sec. Ce robinet était le seul point d'eau du village, l'endroit où tous les habitants venaient chercher l’eau pour se désaltérer et irriguer leurs maigres récoltes. »
- Ah, ah, betit robinet, métaphore zexuelle, très pien ! fit le docteur.
Ah ce moment, je crus bienvenu de lui préciser une ou deux choses :
- Bon, écoute-moi, Toubib : comme c’est moi qui paye la séance alors c’est moi qui cause, toi tu te tais et t’écoutes ou sinon je t’enlève un euro par mot que tu prononces, c’est pas parce que t’es psychamachin que je vais me laisser marcher sur la langue. »
(J’ai un rapport très dynamique avec les représentants de cette illustre profession) Je poursuivis donc :
« Tandis que j’allais me désaltérer, un Mexicain sortit d'une maison et se dirigea vers moi. Il ressemblait à une sorte de François Fillon moustachu :
- Hé, dites donc, faut pas vous yêner, vous croyez qué c’est gratouit ? »
- Ah ah, gratuit, l’archent, z’est le caca de vous… interrompit le docteur, za ze précise !
D’un geste éloquent, je saisis sa lampe de bureau ; il se tut. Je repris :
« Je répondis au Francisco Fillón que je voulais juste étancher ma soif.
- Il n’y a plous rien, les cuves sont vides, lé village est rationné. Il n’y a plous d’eau. Ils gaspillent trop.
Les villageois s’étaient peureusement regroupés derrière lui en ânonnant : plus d’eau, on gaspille trop.
- Ils gaspillent trop, n’ouvrez pas cé robinet. Il faut rationner. Il n'en reste plous.
- Le village est rationné ? Vous êtes cons ou quoi ? Et ça ? fis-je, en indiquant du doigt le sommet du barrage.
Il ignora mon geste.
- Yé souis le gardien dou robinet, je travaille pour le barrage. Je vous dis qu’il n’y a plous d’eau. C’est comme ça. Ne discoutez pas.
- Vous êtes tous mabouls dans ce bled ou quoi ? fis-je, pourquoi ne prenez-vous pas un peu de l’eau qui se trouve de l’autre côté du barrage ? Il doit y en avoir des milliards de mètres cubes ? Allez, laissez-moi ouvrir ce putain de robinet.
- C’est pas à nous. On né peut pas. C’est comme ça. C’est obligé. Il n’y a plous d’eau qui reste pour eux. Ils gaspillent trop. Privilégiés. Les cuves sont vides.
Il avait l’air sérieusement atteint lui aussi. Je repris mon sang-froid pour essayer de lui expliquer calmement ma façon de voir les choses.
- Vous êtes en train de me dire que vous êtes assez débiles pour mourir de soif au pied d’un barrage ?
- C’est pas à eux. On né peut pas. Ils gaspill…
- C’est bon, Coco-Perroquet, j'ai compris. Et cette eau, elle est à qui, alors ?
Le Fillon me regarda, interloqué et les villageois éclatèrent de rire :
- Ben, elle appartient au barrage, pardi… vous sortez d’où ?
- Et le barrage ?
- Ben, lé barrage, il appartient à... heu... au barrage aussi !
Les villageois reculèrent instinctivement en disant : barrage, sacré, barrage, pas toucher...
Le docteur, n’y tenant plus, intervint :
- Ah ah, fictoire : z’est bien zexuel : le betit robinet, le bénis, tout est là : néfrose ! Le barrage, za représente la femme et…
Je descendis du divan et mis mon visage à un centimètre du sien :
- Tu vas la fermer, oui, Sigmund ? Elle n’a rien à voir avec les femmes, ma névrose !
- Pourquoi ?
- parce qu'elle a à voir avec le rapport du Conseil des prélèvements obligatoires, que j'ai lu hier. Et ben figure-toi que les exonérations fiscales dont bénéficient les entreprises, c’est CENT SOIXANTE DOUZE MILLIARDS d'euros. Pour te donner une idée, ça fait DIX-SEPT fois le déficit actuel des caisses de retraite. Si tu ajoutes, les excès de rémunération du capital et les paradis fiscaux (40 à 50 milliards d'euros), tu te rends compte que si les caisses de l'état sont vides, c'est pas parce que l'argent en sort, c'est parce qu'il n'y entre pas.
- Et ?
- Et ben, les villageois, dans mon rêve, c’est nous.
- Ah ? Et le barrache ?
- Devine.
Commentaire de gaty (15/08/2011 08:05) :
je suis écroulée par ton article, tu sais à quoi cela me donne envie
justement... c'est de péter le barrage! Il y aurait de l'eau à
volonté mais plus de vie ensuite, comme quoi, il faut mieux être fourmis
que cigale! Bonnes vacances mon p'tit sarcasmes La Mouette
Plus original que le cannabis ou la cocaïne et plus discret également à l'achat, la noix de muscade serait le nouveau produit servant de drogue aux adolescents américains. Lire la suite l'article
Et d'expliquer que la noix de muscade détient des propriétés psychotropes connues depuis longtemps et aurait fait autrefois le bonheur des prisonniers qui ne parvenaient pas à se procurer des drogues dures. Ainsi, la noix de muscade contiendrait une substance appelée myristicine qui pourrait provoquer des hallucinations, tout comme la marijuana.Pour autant, l'épice n'est pas conditionnée pour être utilisée comme une drogue, et les effets indésirables d'une trop forte consommation sont nombreux, de la diarrhée aux crises de panique en passant par une accélération du rythme cardiaque.
Depuis le 1er juillet, la taxe supplémentaire de 10% sur l'utilisation des cabines UV est entrée en vigueur aux Etats-Unis. Une mesure interprétée par les opposants à Barack Obama comme du racisme anti-blanc, selon le Washington Post.Alors que la proposition n'était encore qu'à l'état de discussion, les conservateurs étaient déjà montés au créneau sur ce thème, à l'image de l'animateur de radio Doc Thompson, qui déclarait très sérieusement dans l'émission de Glenn Beck : "Je connais maintenant la douleur du racisme".
Et oui, les patrons des salons de bronzage sont presque exclusivement blancs, tout comme leurs clients. Taxer les UV serait donc une discrimination contre les blancs. Au point de considérer qu'il s'agit d'une violation de leurs droits constitutionnels. Leur droit à développer un cancer de la peau ?
L'argumentation ne tient pas la route une seconde, mais le Washington Post est quand même allé demander à un expert, Randall Kennedy, professeur à Harvard et spécialiste des conflits raciaux, au cas où : "ça ne pose aucun problème constitutionnel, parce qu'un plaignant devrait démontrer que le gouvernement a désavantagé intentionnellement un groupe, pas simplement que le groupe est effectivement désavantagé". On est rassurés.
Rappelons que la taxe sur les UV doit rapporter 2,7 milliards de dollars par an dans le cadre la réforme du système de santé défendue par Barack Obama.
Alors mouvement de mode ? ; Prix de la beauté ? : ou racisme ? Laissez vos avis cela m'intéresse...